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HERVE GUYADER - Page 219

  • L'équateur, nouveau postulant au libre-échange avec l'Europe

    C’est officiel. L’Equateur peut rejoindre les accords de libre échange déjà en vigueur entre l’Union européenne (UE), la Colombie et le Pérou.

    La commissaire européen au Commerce Cécilia Malsmtröm et le ministre du Commerce international équatorien Francisco Rivadeneira ont paraphé le 12 décembre dernier à Bruxelles le protocole d’adhésion à l’accord.

    A cette occasion, le ministre équatorien s’est félicité d’un accord qui prend en compte les « intérêts spécifiques de l’Equateur et de son secteur agricole ».

    L'Equateur ira-t-il jusqu'au bout cette fois, après avoir déjà rompu les négociations par le passé ?

     

  • Examen des politiques commerciales: États-Unis d’Amérique

    Le douzième examen de la politique et des pratiques commerciales des États-Unis d’Amérique a lieu les 16 et 18 décembre 2014. Il est basé sur un rapport du Secrétariat de l’OMC et sur un rapport du gouvernement des États-Unis d’Amérique.

    La surveillance des politiques commerciales nationales est une activité d'une importance fondamentale pour l'OMC; elle repose principalement sur le Mécanisme d'examen des politiques commerciales (MEPC). Tous les Membres de l'OMC font l'objet d'un examen, dont la fréquence varie en fonction de leur part dans le commerce mondial.

     

     

  • La chute inexorable du rouble

    Hier, le rouble a perdu 8 % en une journée, du jamais vu depuis 1998.

    La monnaie se déprécie de jour en jour.

    Corrélation, l'économie russe dévisse aussi vite que sa monnaie.

    Les indices de la Bourse de Moscou ont dégringolé dans le sillage du marché des changes puisque l'indice Micex (libellé en roubles) a chuté de 2,38% et surtout le RTS (libellé en dollars) de 10,12%.

    Dans un rapport trimestriel de politique monétaire, la banque centrale a indiqué que dans un scénario où le baril de pétrole resterait à 60 dollars le baril, son niveau actuel, le produit intérieur brut de la Russie pourrait chuter de 4,5% à 4,8%. Dans ce cas, les revenus des ménages pourraient chuter de plus de 6% et les investissements de 10% l'an prochain. En l'état actuel des choses, la Banque de Russie prévoit un pic d'inflation à 11,5% sur un an au premier trimestre.

    La popularité record de Poutine depuis qu'il a annexé la Crimée pourrait, un jour, se retourner contre lui.