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HERVE GUYADER - Page 205

  • Conséquences de la chute du rouble

    Conséquence de la chute du rouble :

    La Biélorussie a bloqué dimanche 21 décembre des boutiques en ligne et des sites internet d'information, une mesure destinée à empêcher la ruée vers les banques et les magasins de personnes cherchant à sécuriser leur épargne.

    Ces mesures ont été appliquées le 19 décembre, lorsque le gouvernement a annoncé que les achats de devises étrangères seraient taxés à 30 % et qu'il a donné l'ordre aux exportateurs de convertir la moitié de leurs recettes en devises étrangères en monnaie locale.


  • Exportations en Algérie : la France de nouveau dépassée par la Chine

     
     
    La Chine, avec 7,44 milliards de dollars, conserve la première place de fournisseur devant la France (5,89 milliards), suivie de l'Espagne, de l'Italie et de l'Allemagne. La France tente de reprendre depuis 2013 cette position qu'elle a occupée pendant un demi-siècle.

     

     
  • La Turquie multiplie les charges contre l'Europe

    Le président turc Recep Tayyip Erdogan multiplie les charges contre l'Union européenne. 

    Il a encore rappelé que la Turquie n’avait pas de leçon de démocratie à recevoir de Bruxelles.

    Dès le début de la semaine, le président turc avait demandé aux Européens de «s’occuper de leurs affaires», suite aux critiques européennes sur l’arrestation d’une quarantaine de journalistes. Les relations entre Ankara et ses partenaires de l’Union européenne n'ont jamais été aussi fraîches, ce qui a provoqué une chute brutale de la monnaie nationale.

    Recep Tayyip Erdogan disait lundi 15 décembre, que l’Union européenne « n’avait pas à mettre son nez dans les décisions de justice » de la Turquie. 

    Mercredi, il lançait aux Européens :

    «Vous pouvez toujours dire du mal, écrire des informations mensongères, nous ne changerons pas de route ».

    En fait, ce que Recep Tayyip Erdogan ne digère pas, c’est que les représentants de l’Union européenne, sous couvert de valeurs démocratiques et de libertés individuelles, semblent défendre et protéger les adeptes de la confrérie Gülen, ses ennemis jurés.

    Erdogan est persuadé qu’ils ont monté ou préparent un complot contre lui et son gouvernement. Il enrage que les Occidentaux ne croient pas à ces soupçons de complot et ne le soutiennent pas dans son combat pour défendre son pouvoir.

    D’où les attaques sur le thème « l’Europe n’a pas à faire la morale à la Turquie », car l’UE ne défend pas assez; ou pas du tout, son pouvoir.

    Son pouvoir est simplement totalement indéfendable....