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  • MERCOSUR ou BRICS ?

    Le Mercosur est une zone de libre-échange située en Amérique du Sud, qui comprend le Brésil, l'Argentine, le Paraguay, l'Uruguay et le Venezuela. Cette zone, dont le Brésil est l'acteur économique majeur, offre de nombreuses opportunités commerciales dans pratiquement tous les secteurs économiques.

     
    Avec environ 366 millions d'habitants et un PNB conjoint de plus de 2.970 milliards de dollars, le Mercosur est le quatrième "marché intérieur" du monde, après l'Union européenne, les États-Unis et le Japon.
     
    Reste à savoir ce que le Brésil, membre du MERCOSUR, va faire avec / au sein des BRICS qui se sentent pousser des ailes...
  • Fret maritime : Alliance Ocean Three

    La Compagnie maritime française CMA CGM, la chinoise China  Shipping Container Lines (CSCL) et United Arab Shipping Company (UASC) vont créer l'alliance "Ocean Three" pour l'ensemble des routes Est-Ouest :

    - Asie / Europe du Nord

    - Asie / Méditerranée

    - transpacifique et Asie / côte Est des USA

    - transatlantique

  • Un manque dramatique d'investissements à l'export

    En 2014, 37% des entreprises ont bénéficié d’aides publiques à l’export contre 23% dans les résultats en 2012. La question du ciblage reste pourtant entière : 2/3 des petites entreprises n’y ont pas recours.

    En revanche, seulement une entreprise sur trois investira davantage à l’export en 2015. C’est plus que la part d’entreprises souhaitant investir sur le territoire français (une sur cinq) mais cela reste limité. Parmi les secteurs où la dynamique d’investissement export sera la plus forte, on retrouve l’industrie automobile, l’agroalimentaire et les services.

    Au-delà de simples transactions, parfois risquées, l’export est aussi l’occasion d’innover en s’exposant à de nouveaux consommateurs et de nouvelles habitudes de marchés. Sa pérennité nécessite d’investir en recherche et développement, parfois d’ouvrir une filiale, ou de s’associer à des partenaires étrangers. Malgré des intentions bien orientées pour 2015, il faut déplorer la timidité des entreprises : un exportateur sur trois a déjà décidé de ne pas investir à l’export en 2015.

    L'extrême frilosité des établissements bancaires n'y est pas étrangère.