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  • Livraison du Mistral "Vladivostok" retardée à un simple cessez-le-feu

    Les conditions de livraison ne sont pas réunies affirme un porte parole de la France.

    Alors que voici quelques mois, certains imaginaient la France bloquer la livraison jusqu'à un retour de la démocratie, de la sécurité en Crimée, de l'état de droit et autres images du genre si habituelles au vocabulaire français, voici désormais qu'un simple cessez-le-feu assorti d'une "feuille de route" suffirait à permettre la livraison...

    Passé la grandiloquence, la France semble vouloir livrer ses Mistral et empocher le chèque dédié.

     

  • Grèce et zone Euro

    L'Allemagne serait prête à laisser la Grèce quitter la zone Euro car les risques de contagion à d'autres pays qui étaient très forts en 2012 et 2013 se sont évanouis. Le Portugal et l'Irelande vont, en effet, beaucoup mieux.

    En outre, le MES (Mécanisme européen de stabilité) offre de grandes garanties de stabilité.

    Ainsi, comme le disait un observateur qualifié, l'Allemagne se comporte en père de famille prodiguant les conseils qu'elle estime les plus opportuns à ses voisins européens. Si maintenant l'un de ceux-là, malgré la pertinence de ces avis, décide de faire rébellion pour aller mener sa vie...elle le laissera partir comme un père laisserait partir son fils délaissant une brillante carrière pour une vie de bohème.

     

  • Dette grecque : l'Allemagne prête à laisser la Grèce sortir de l'Euro

    Le gouvernement allemand serait prêt à laisser la Grèce sortir de la zone euro, au cas où la gauche radicale remettrait en cause la politique de rigueur budgétaire dans ce pays.

    Certains affirment que le gouvernement allemand juge quasiment inévitable une sortie (de la Grèce) de la zone euro, si le chef de l'opposition Alexis Tsipras dirige le gouvernement après les élections (législatives), abandonne la ligne de rigueur budgétaire et ne rembourse plus les dettes du pays.

    D'autres, plus modérés, estiment que la Grèce a rempli ses obligations dans le passé.

    Ils estiment que le gouvernement allemand part du principe que la Grèce va continuer à l'avenir de remplir ses obligations envers la troïka » de ses créanciers (Union européenne, Banque centrale européenne, Fonds monétaire international).