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  • Nouveau camouflet pour la Russie, dégradée par S&P

    La Russie a vu sa note souveraine être reléguée en catégorie "spéculative" lundi par l'agence de notation Standard & Poor's, accentuant la pression sur ce pays en proie à une grave crise financière.

    Sous la menace d'une dégradation depuis décembre, la note d'endettement à long terme de la Russie a été abaissée d'un cran, à "BB+", et S&P a indiqué ne pas exclure de la faire encore reculer, en l'assortissant d'une perspective d'évolution négative.

    Pour justifier sa décision, l'agence a mis en avant la détérioration de la flexibilité monétaire du pays, ainsi que la dégradation de ses perspectives de croissance, alors que la Russie fait l'objet de sanctions économiques européennes et américaines sur fond de crise ukrainienne.

    Mi-janvier, le ministre russe de l'Économie, Alexeï Oulioukaïev, avait jugé "assez forte" la probabilité de voir l'agence de notation abaisser la note de la Russie. Celle-ci avait adressé en décembre un avertissement, après une chute historique du rouble qui a plongé le pays dans sa pire crise monétaire en quinze ans de pouvoir de Vladimir Poutine.

     

  • Le Koweit souffre de la baisse des prix de l'or noir

    L'émirat prévoit un budget en déficit de 24 milliards de dollars pour l'exercice 2015/2016. Le pays souffre de la chute des prix du pétrole qui a reculé de près de 60% depuis juin.

    Le Koweït a annoncé lundi un projet de budget pour l'exercice 2015/16 prévoyant un déficit de 7 milliards de dinars (24 milliards de dollars) en dépit d'une réduction massive de ses dépenses publiques. Ce déficit prévu est dû à la chute des prix du pétrole qui a reculé de près de 60% depuis juin.

    Les revenus prévus se chiffrent à 19,05 milliards de dinars (41,1 milliards de dollars), en baisse de 43,6% par rapport à l'exercice précédent où ils étaient de 20,1 milliards de dinars, a précisé devant la presse le ministre des Finances Anas al-Saleh. Les dépenses ont été fixées à 19,7 milliards de dinars (65,1 milliards de dollars), soit 17,8% de moins que les 23,2 milliards de l'actuel exercice.

     

  • Après la Grèce, l'Espagne ?

    En Espagne, le parti Podemos, actuellement en tête des sondages, pourrait vouloir emboiter le pas grec pour mettre à la tête du royaume espagnol un autre parti d'extrême gauche.

    Les observateurs européens ne sont donc pas prêts d'abandonner la vigilance qu'ils font peser sur la Grèce.

    Si Podemos arrivait au pouvoir, certaines tentations de renégociation de la dette pourraient se faire jour au détriment de leurs créanciers, c'est-à-dire de nous.