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  • L’avis positif de Goldman Sachs soutient le cours d’Alcatel-Lucent

    Les analystes de la célèbre banque d’affaires ont ajouté le titre de l’équipementier à la liste de leurs plus fortes convictions dans le secteur. Goldman Sachs estime que l’action pourrait même atteindre 4,20 euros.

  • Le cimentier irlandais CRH arrive en tête des candidats au rachat des actifs de Lafarge et Holcim avec une offre globale de 6 milliards d'euros.

    La vente des actifs de Lafarge et Holcim est dans la dernière ligne droite. Cette opération amènera notamment Holcim à céder presque toutes ses activités en France et Lafarge sa filiale en Allemagne.

    Aujourd'hui, deux candidats se détachent. En tête, le cimentier irlandais CRH, qui a fait une offre globale à 6 milliards d'euros. Le groupe a confirmé être en négociations avec le Français et le Suisse. «S'il ne peut y avoir aucune certitude que les discussions aboutiront à une transaction, si une acquisition venait à avoir lieu, elle serait probablement financée par une combinaison de cash, de dette et d'émission d'actions», a affirmé l'Irlandais dans un communiqué.

     

    Un consortium composé du fonds américain Blackstone, du fonds de pension canadien CPP et du fonds Cinven ne serait pas loin derrière, avec une offre à 5,5 milliards d'euros. D'autres candidats pourraient se dévoiler comme un consortium composé des fonds souverains de Singapour (GIC) et d'Abu Dhabi (Adia) et du fonds de private equity CVC.

    Enfin, des acteurs comme le cimentier Italcimenti ou le fonds KKR s'intéressent à une partie seulement des actifs. Leurs propositions ont peu de chances d'aboutir car Lafarge et Holcim privilégient une vente en bloc plutôt que par appartements.

  • Portugal Télécom : feu vert à la vente à Altice

    Les actionnaires de Portugal Telecom ont approuvé jeudi la vente des actifs portugais de l'opérateur au groupe Altice pour 7,4 milliards d'euros, a annoncé le patron de l'opérateur brésilien Oi Bayard Gontijo.

    La décision, prise à une très large majorité lors d'une assemblée générale des actionnaires de la holding PT SGPS, était le dernier obstacle à la vente de l'opérateur historique portugais, détenu par Oi depuis mai dernier, à la maison mère du français Numéricable-SFR.